11ème journée 2021

Le REPLAY du colloque du 8 Avril 2021
qui a eu lieu à distance, en webinaire

L'impact de l'environnement sur la santé de la femme, de la mère et de l'enfant

Le comité d'organisation

Nous sommes engagées depuis 2007 dans la communication des effets délétères des perturbateurs endocriniens sur la santé. Ce rendez vous annuel avec nos confrères professionnels de santé est une mise a jour d’une grande qualité scientifique sur ces problématiques de santé publique. Le couple en préconception, la femme enceinte, et le capital santé du fœtus, qui sont au centre de nos préoccupations, sont en effet particulièrement impactés par les polluants environnementaux.

Session 1
9h00 - 11h00

Dr Sarah Dognin dit Cruissat



Docteur en Pharmacie, diplômée de l’Université de Lyon en France, nutritionniste et écotoxicochimiste.
En 2006, elle crée CALMEVA, cabinet de conseil scientifique et technique au service de la performance individuelle et collective.
Spécialiste des troubles du métabolisme et du comportement, elle a développé une solide expérience dans l’accroissement des forces vitales, l’amélioration du microbiote intestinal et l’épigénétique en pratique.
Présidente du Conseil d’Administration de la Caisse d’Assurance Retraite et Santé au Travail Rhône-Alpes. Elle a publié deux ouvrages : « Mon coaching sommeil » et « Les secrets d’une belle peau » aux éditions Hachette.

 

Take home message


Plutôt que de chercher LE responsable :

- Veillez à limiter les expositions des patients dans vos conseils et recommandations.
- Privilégiez les biomarqueurs d’effet et de susceptibilité avec vos bilans complétés de la biologie fonctionnelle.
- Penser à enrichir votre thérapeutique avec les cofacteurs nutritionnels.

 

Replay

 

Modération : Dr Nicolas Foray
Radiobiologiste - Centre Léon Bérard à Lyon

 

 

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Pr Michel Pugeat


Le professeur Michel Pugeat est Endocrinologue spécialisé dans la stéroïdogenèse. Il a beaucoup publié, notamment sur le thème du syndrome des ovaires polykystiques mais s’intéresse également à l’andrologie. Sa communication concerne la dérégulation centrale de la fonction gonadique après exposition aux perturbateurs endocriniens.

Take home message

La génétique n’explique que 10% de l’héritabilité des maladies endocriniennes de la reproduction et notamment chez la femme du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Dès lors, l’hypothèse de modifications épigénétiques plutôt que génétiques est devenue la principale piste de recherche. Les perturbateurs endocriniens chimiques (PECs) sont des candidats désignés à la reprogrammation fœtale de la fonction gonadotrope du fait du rôle déterminant de la nutrition sur sa régulation. Les relations de cause à effet restent méthodologiquement difficiles à démontrer chez l’homme du fait de l’absence de groupe non exposés aux PECs puisque nous sommes tous contaminés. Les études de grandes populations sont convaincantes de l’association d’un risque croissant de maladies chroniques, notamment métaboliques, avec l’augmentation de la présence de PECs dans le sang. Le développement de modèle expérimentaux y compris chez le primate montré les conséquences de l’exposition fœtale aux androgènes sur la programmation du SOPK chez le fœtus exposé mais aussi sur l’apparition d’un syndrome métabolique. Un modèle plus récent d’exposition à l’Hormone Anti-Mullérienne (AMH) récapitule l’apparition d’un phénotype de SOPK clinique et biologique, avec l’hyper activation de la sécrétion de l’hormone lutéinisante LH et l’hyperandrogénie consécutive. Par un mécanisme d’hypométhylation des promoteurs de gènes impliqués dans la mise en place et le développement de la fonction gonadique mais aussi dans la régulation métabolique, la physiologie cellulaire et l’inflammation, explique la transmission sur trois générations d’un même phénotype humanisé de SOPK chez la souris. De façon fascinante on retrouve ces clusters de gène hypométhylés dans l’ADN circulant de patientes SOPK. Enfin, promesse de traitement du moins chez l’animal, l’utilisation d’agents méthylants qui rétablit une méthylation normale des gènes concernés, montre la réversibilité du phénotype ovarien et métabolique. Ces travaux confirment l’hypothèse de l’épigénétique dans la physiopathologie du SOPK et ouvrent de nouvelles approches de traitement. La place des EDCs dans ce paradigme ne devrait pas manquer de se concrétiser.

Replay

Modération : Dr Marika Donadieu
Endocrino-gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


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Pr Charles Sultan
 

 

 

Il est professeur et vice-doyen de la Faculté de médecine de Montpellier et chef du service d'hormonologie au CHU de Montpellier.
Il est spécialiste des effets des pesticides sur le corps humain, des perturbateurs endocriniens et en hormonologie pédiatrique. Ancien chercheur postdoctoral à la prestigieuse John Hopkins School of Medicine, lauréat de plusieurs prix internationaux pour ses recherches dont le prix Andrea Prader, le plus prestigieux prix en endocrinologie pédiatrique. Il a exercé des responsabilités dans des associations françaises et européennes d’endocrinologie, d’andrologie, de gynécologie, à l’INSERM et a été auditionné par le Sénat sur les risques chimiques au quotidien.

 

Take home message


Les effets délétères de Perturbateurs endocriniens peuvent se retrouver sur 3 générations comme le montre le modèle expérimental de l’exposition in utero au Distilbène et aux dioxines.

- Etudes expérimentales chez le rat : Insuffisance ovarienne prématurée, OPK, Anomalies pubertaires.

- Etudes cliniques : des anomalies urogénitales (hypospadias, cryptorchidies, des malformation utérines, endométriose et trouble du neurodéveloppement).

Il y a un problème majeur de santé publique, voire scandale sanitaire.


Replay

 

Modération : Dr Pascale Mirakian
Endocrino-gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON

 


Le replay de cette intervention lors du colloque du 8 avril 2021 est réservé aux médecins (gynécologues, endocrinologues, pédiatres, biologistes, psychiatres et généralistes), pharmaciens et sages-femmes.

Pour obtenir le mot de passe nécessaire à la lecture de la vidéo, merci de nous contacter par email en cliquant ici et en précisant votre numéro RPPS.

Si vous possédez déjà le mot de passe, vous pouvez consulter la vidéo en cliquant ici.



Pour consulter la vidéo de présentation de notre partenaire, le laboratoire Organon, cliquez ici.


Session 2
11h00 - 13h00

Pr Samir Hamamah


Il est chef du Département de Biologie de la Reproduction (AMP/DPI-CECOS), président de la sous-section 54-05 du Conseil National des Universités. Il dirige l’unité mixte de recherche INSERM – UM (U1203) intitulée « Développement embryonnaire précoce humain et pluripotence » implantée à l'Institut de médecine régénératrice et biothérapies (IRMB), situé sur le campus Saint Éloi du CHU de Montpellier, jusqu’à la construction du site unique de biologie en 2023.

Take home message

Poids de naissance des enfants issus de la PMA
- Le poids de naissance peut impacter la santé à long terme (maladies cardiovasculaires, diabète type 2).
- Le poids de naissance des enfants issus de la FIV diffère selon qu’il s’agisse d’un embryon frais (prématurité, SGA) ou congelé (LGA).
Pourquoi?
Pas d’impact de l’infertilité Pas d’impact de la stimulation ovarienne
- Impact des milieux de culture, de la durée et des conditions de culture (taux d’oxygène, température, huiles minérales de culture, consommables plastiques contaminés par perturbateurs endocriniens et/ou toxiques ?).
- Les stades précoces sont vulnérables aux modifications épigénétiques. Celles-ci sont incriminées pour les modifications des poids de naissance. Des études sont nécessaires pour extrapoler chez l’homme.

Replay

Modération : Dr Pascale Mirakian
Endocrino-gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


Le replay de cette intervention lors du colloque du 8 avril 2021 est réservé aux médecins (gynécologues, endocrinologues, pédiatres, biologistes, psychiatres et généralistes), pharmaciens et sages-femmes.
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Pr Patrick Fenichel
 

Endocrinologue et Gynécologue, Professeur de Médecine de la Reproduction. Il a dirigé le service d’Endocrinologie Diabétologie et Reproduction au CHU de Nice et l’équipe de recherche INSERM Environnement, Reproduction et Cancers hormonodépendants au C3M/Université Côte d’Azur.

Take home message

- Les produits organiques persistants (POPs) s’accumulent au cours de la vie dans le tissu graisseux et sont relargués dans la circulation au cours de la lipolyse quel que soit la cause de l’amaigrissement.
- Après chirurgie bariatrique ce relargage est massif et atteint après un an 35 à 130% des valeurs pré-chirurgicales, corrélé à la perte de poids et aux propriétés chimiques des POPs (lipophilicité, degré d’halogénisassions) mais non au BMI initial, au syndrome métabolique ou à la technique chirurgicale.
- Chez les femmes en âge de procréer, ce relargage augmente le risque de dépasser les concentrations critiques vis-à-vis du fœtus ou du nourrisson. Ainsi 25% des cas après un an contre 3,6% avant pour la somme des PCBs dans une série de 50 jeunes femmes comprises dans l’étude POLOB.
- Ces risques d’exposition du fœtus et des enfants allaités devront être pris en compte dans les futures recommandations vis-à-vis d’un désir de grossesse en cas d’obésité morbide et l’alternative médicale (régime modéré, activité physique, nouveaux agonistes des peptides intestinaux) évaluée avec report de la chirurgie bariatrique en post-partum tardif.
En cas de maintien d’une chirurgie bariatrique avant conception, une période de 18 mois au moins paraît souhaitable avant conception permettant de ralentir la perte pondérale, faciliter la détoxification des POPs relargués et prodiguer des conseils de prévention vis-à-vis de l’exposition secondaire aux POPs.
 
Replay

Modération : Pr Emmanuel Disse
Endocrinologue - Centre hospitalier Lyon sud - Hospices civils de Lyon


Le replay de cette intervention lors du colloque du 8 avril 2021 est réservé aux médecins (gynécologues, endocrinologues, pédiatres, biologistes, psychiatres et généralistes), pharmaciens et sages-femmes.
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Mme Emmanuelle Amar


Emmanuelle Amar est épidémiologiste et directrice depuis 2007 du REMERA registre Rhône-Alpes sur les malformations. Elle est une lanceuse d’alerte sur la survenue de malformations comme ce fut le cas en 2018 sur les bébés naissant bras dans le département de l’Ain. Son registre était déjà à l’origine de l’affaire Dépakine. Elle a dû faire face aux autorités sanitaires pendant presque 10 ans, pour faire reconnaître cette malformation des bébés nés sans bras et le lien avec une cause environnementale. Elle explique son parcours et son combat dans son livre : un Silence toxique. Aujourd’hui elle nous présente : Qu’en est-il des perturbateurs endocriniens sur les malformations ? Comment les mettre en évidence ?

Take home message

Malformation et environnement : ce que l’on sait ?
La période de vulnérabilité maximale aux tératogènes (dont les perturbateurs endocriniens) sont la période embryonnaire surtout et la période fœtale. Le cocktail chimique des perturbateurs endocriniens inonde notre environnement. L’effet cocktail est bien reconnu sur la Santé d’où la difficulté des normes et de la mise en évidence de la causalité de telle ou telle molécule sur les malformations.
Une double approche est possible : toxicologique et épidémiologique
C’est l’objectif du REMERA, ce registre en région Rhône Alpes sur les malformations, que d’alerter sur la survenue de malformations dans une région et de lancer une recherche sur l’origine de cette malformation afin de préserver les générations futures. Démarche parfois difficile face aux divers lobbies comme décrit dans son livre : un silence toxique. L’exposition pendant la grossesse à des perturbateurs endocriniens peut également avoir un effet « transgénérationnel » en touchant non seulement les enfants mais également les petits enfants. L’approche épidémiologique avec la tenue de registre permets de lancer l’alerte et ainsi de protéger la population.

Replay

Modération : Dr Véronique Bied-Damon
Gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


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Pour consulter la vidéo de formation pratique à la ponction ovocytaire en PMA de notre partenaire, le laboratoire Ferring, cliquez ici.

Session 3
13h00 - 14h30

Dr Inès de Montgolfier


Pédiatre spécialisée en période périnatale, exerçant à Natecia, hôpital privé offrant une maternité type 2b et une unité de soins précoces psychique et pédiatriques. Elle a aussi des responsabilités à la fédération des néonatologies de la région et des activités transversales de suivi et de recherche au sein du réseau périnatal.

Take home message

Le rôle fondamental du microbiote sur la santé de l'homme et plus particulièrement du microbiote intestinal, organe multifonctionnel, est connu depuis longtemps. L'amélioration de sa connaissance par des techniques sophistiquées et onéreuses en améliore la connaissance sans pour autant permettre dès maintenant des retombées diagnostique et thérapeutique admises par tous.
Chez le nouveau-né, la mise en place du microbiote intestinale est un processus long qui couvre largement les 1000 jours fondateurs de son équilibre sanitaire à long terme, il influence son confort digestif, son immunité, la survenue d'allergie, d'obésité, de diabète, de maladies inflammatoires. Certaines des situations altérant l'installation d'un microbiote intestinal optimal sont connues (dysbiose maternelle, antibiothérapie, césarienne, choix alimentaires) de sorte que des pistes de correction émergent mobilisant l'ensemble des partenaires de vie des enfants pour une prise en charge précautionneuse, concertée, globale respectueuse du microbiote.

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Modération : Dr Pascal Besse
Endocrinologue - Centre hospitalier Lyon sud - Hospices civils de Lyon


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Dr Sam Schoenmakers



Gynécologue spécialisée en médecine fœtale maternelle à la fois dans le Pays-Bas et à l'étranger (Capetown, Afrique du Sud, Houston, États-Unis et NewCastle Upon Tyne, Royaume-Uni) et pharmacologue clinicien en formation. Il est aussi membre du conseil national de la santé des Pays-Bas et a encadré 8 doctorants sur les principaux : microbiome/virome, naissance prématurée, développement embryonnaire précoce, médecine personnalisée.

Take home message

- Le tractus urogénital féminin abrite un microbiome unique
- Le microbiome vaginal est prédictif des résultats de la FIV en terme de grossesse.
- Il existe des profils microbiologiques «défavorables» et «favorables» qui semblent prédictifs d’une implantation réussie et sont donc un indicateur de la réceptivité de l’endomètre.
- Dans le futur : si le microbiome de l'endomètre est corrélé au microbiome vaginal, en traitant un microbiote «défavorable», on pourra améliorer les chances d’implantation.

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Modération : Dr Pascale Mirakian
Endocrino-gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


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Session 4
14h30 - 15h30

Maître Agathe Blanc


Agathe Blanc est avocate au barreau de Paris. Elle travaille principalement en tant que pénaliste. Elle traite aux côtés du bâtonnier Pierre Olivier SUR sur de nombreux dossiers en droit pénal de la santé. Elle a récemment traité le dossier polémique du Médiator. Dans l’affaire de l’incinérateur de Vaux-le-Penil , elle a obtenu la première condamnation pénale en France pour la mise en danger de la vie d’autrui à raison d’une pollution aux dioxines. Sa pertinence dans le droit de la santé est reconnue. Elle va nous présenter la place du droit dans la lutte contre les perturbateurs endocriniens et leurs effets néfastes sur la santé ainsi que leur prolifération dans l’environnement. Essayons d’y voir plus clair dans cette multitude de législation et réglementation !

Take home message

Devant la prolifération des normes nationales, européennes et internationales comment définir la responsabilité d’un perturbateurs endocriniens ?
La responsabilité se joue à deux niveaux :
- soit les informations du fabricant sur le produit sont insuffisantes ainsi que ses précautions d’usage
- soit pas de position claire sur la dangerosité du produit
Les 3 inculpations possibles sont : homicide et blessures involontaires, mise en danger de la vie d’autrui et bientôt , délit de mise en danger de l’environnement ou écocide. Le recours judiciaire peut se faire soit au niveau civil soit au niveau pénal. Devant cette avalanche de réglementations, la technicité des normes et le nombre important de perturbateurs endocriniens, il est difficile d’apporter la preuve de causalité et d’extraire la responsabilité d’un perturbateur sur la santé ou l’environnement. Cependant le non-respect des normes sanitaires incite le législateur et le milieu judiciaire à évoluer pour mieux protéger la santé et notre environnement.


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Modération : Dr Véronique Bied-Damon
Gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


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Pr Patrick Lemoine


Psychiatre, spécialiste du sommeil, ancien chercheur associé à Standford et à Montréal et actuellement professeur associé à Pékin. Chef de service au Vinatier et directeur médical international du groupe de cliniques psychiatriques Clinéa.
Il a publié une quarantaine d’ouvrages (aux éditions Odile Jacob, Robert Laffont, Flammarion, Larousse, Armand Colin, Lavoisier, In Press, Pocket et Marabout) consacrés notamment aux alternatives naturelles des traitements chimiques en particulier dans l’insomnie et la dépression. Sa communication présente la médecine évolutionniste à travers le prisme de la psychiatrie et des neurosciences.
 
Take home message

Médecine évolutionniste
À QUOI SERVENT LES SYMPTÔMES ? L'évolution se soucie comme d'une guigne de la souffrance individuelle; tout ce qui l'intéresse, c'est l'avenir de l'espèce, en l'occurrence la nôtre. Ceci permet de comprendre que les symptômes fréquents ont une fonction importante comme par exemple la fièvre qui permet de lutter contre la prolifération des microbes. Dans cette perspective, je vais tenter de faire comprendre quelle est la fonction de l'insomnie, de l'anxiété, de la dépression, du trouble bipolaire…

Replay

Modération : Dr Marika Donadieu
Endocrino-gynécologue - Hôpital privé Natecia LYON


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A propos du comité d’organisation :
                                                     
Grâce à notre sensibilité d’endocrinologue et de gynécologue au sein du centre de procréation médicalement assistée de l’Hôpital Privé Natecia, nous avons souhaité partager nos connaissances scientifiques aussi bien avec les couples en préconception qu’avec nos confrères, acteurs de la périnatalité. Nous avons très rapidement développé des outils d’informations pour nos patients et tout récemment un questionnaire d’auto-évaluation de l’exposition aux perturbateurs endocriniens en intégrant le constat que le tabac et l’alcool sont de grands réservoirs de perturbateurs endocriniens. L’université nous fait confiance et nous a donné l’agrément de former à notre pratique 1 à 2 internes par semestre.

Le Dr Marika Donadieu

Dr Marika Donadieu

Le Dr Marika Donadieu

Dr Pascale Mirakian

Le Dr Véronique Bied Damon

Dr Véronique Bied-Damon

Nos partenaires pour le colloque :
                                                   

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13èmes journées 2024 “Environnement et Santé reproductive”

Jeudi 11 avril 2024, de 9h00 à 17h00.

Simultanément, en présentiel à l’hôpital privé Natecia de Lyon, et en webinaire, en streaming sur Zoom.

Programme et inscription …